Un chat qui miaule, les oiseaux qui chantent. Ce n'est pas un temps pour déprimer, et pourtant. Je sens mes poumons qui se consument.

Je ne m'attacherai plus jamais à qui que ce soit. Il faut que je fasse renaître ma barrière d'auparavant, et mes prétextes consternants. Même si cela implique de ne plus éprouver de sentiments ou du moins, de vouloir les faire taire. Mon mépris, et ma misanthropie se déterrent.

j'ai cessé de ressentir. je me suis levée de mon lit, j'ai tangué vers son nord, et ai ouvert les fenêtres en attendant l'aurore. au loin, un enfant me brandissait son sourire. chrysanthème. avant de ne me montrer la peluche qu'il serrait contre lui et de ne fermer ses volets. je me suis demandé s'il avait un prénom...je suis ridicule. j'ai secoué la tête. j'étais perturbée. et fatiguée. alors j'ai fini par poser la tête sur mes bras. et à m'endormir. en douceur. sur cette berceuse. la tombée de la pluie. la première goutte s'éteignant sur ma bouche. mon regard se dirigeait vers mes paumes, amoureuses de la toile d'une artiste anonyme. j'ai souri. à mon tour. tandis que le vent avait surgi et l'avait emportée. avec lui. mes poings se sont serrés. à saigner. les ongles s'incrustaient dans la peau. inconsciemment. tendrement. encore. des épines. lorsque j'ai rouvert la main, le tissu était devenu rouge. j'ai pensé à une tige, de rose. dont la pétale n'était plus. j'ai rigolé, de moi. je suis restée là, à l'observer. et j'ai refermé mes doigts dessus. une nouvelle fois. quelquefois. dans une prose qui n'en était pas une.

Je ne peux plus comprendre. Je n'arrive plus à comprendre ce qu'il arrive.

Mais, mis à part cela, j'ai passé une merveilleuse journée en sa compagnie, hier. Cela faisait seulement deux semaines que je ne l'avais pas vue en vie réelle et pourtant, ses sourires me manquaient tellement. Le fait de promener mes doigts dans ses cheveux, et de passer mes mains sur ses yeux. J'aime passer des heures avec toi dans les magasins, à t'entendre refuser un quelconque présent de ma part, à te voir tourner en rond telle une enfant autour des rayons de peluches, toutes si mignonnes que ton choix devenait hésitant, et les roses s'accumulant en l'intérieur de tes joues... Tu ne sais à quel point tu es importante à mes yeux, ma Louise, ni à quel point Je t'aime...

Lilianager a dit :

Pogoleon a dit :VoirMasquer

PogOMG ! T' as pas honte de décrire métaphoriquement des scènes interdites aux moins de 18 ans sur un forum tout public ? :o

Omg j'ai cru que c'était un poème :|

Louche a dit :

j'ai cessé de ressentir. je me suis levée de mon lit, j'ai tangué vers son nord, et ai ouvert les fenêtres en attendant l'aurore. au loin, un enfant me brandissait son sourire. chrysanthème. avant de ne me montrer la peluche qu'il serrait contre lui et de ne fermer ses volets. je me suis demandé s'il avait un prénom...je suis ridicule. j'ai secoué la tête. j'étais perturbée. et fatiguée. alors j'ai fini par poser la tête sur mes bras. et à m'endormir. en douceur. sur cette berceuse. la tombée de la pluie. la première goutte s'éteignant sur ma bouche. mon regard se dirigeait vers mes paumes, amoureuses de la toile d'une artiste anonyme. j'ai souri. à mon tour. tandis que le vent avait surgi et l'avait emportée. avec lui. mes poings se sont serrés. à saigner. les ongles s'incrustaient dans la peau. inconsciemment. tendrement. encore. des épines. lorsque j'ai rouvert la main, le tissu était devenu rouge. j'ai pensé à une tige, de rose. dont la pétale n'était plus. j'ai rigolé, de moi. je suis restée là, à l'observer. et j'ai refermé mes doigts dessus. une nouvelle fois. quelquefois. dans une prose qui n'en était pas une.

Je ne peux plus comprendre. Je n'arrive plus à comprendre ce qu'il arrive.

Mais, mis à part cela, j'ai passé une merveilleuse journée en sa compagnie, hier. Cela faisait seulement deux semaines que je ne l'avais pas vue en vie réelle et pourtant, ses sourires me manquaient tellement. Le fait de promener mes doigts dans ses cheveux, et de passer mes mains sur ses yeux. J'aime passer des heures avec toi dans les magasins, à t'entendre refuser un quelconque présent de ma part, à te voir tourner en rond telle une enfant autour des rayons de peluches, toutes si mignonnes que ton choix devenait hésitant, et les roses s'accumulant en l'intérieur de tes joues... Tu ne sais à quel point tu es importante à mes yeux, ma Louise, ni à quel point Je t'aime...

Lobolove a dit :

FML. Juste FML.

Nanouchoou a dit :

Je suis de mauvaise humeur.
Je vous laisse deviné pourquoi.