Profiter c'est rêver.
Profiter c'est aimer.
Profiter c'est jouer.

Déchiffrer les rêves.
Commencer à aimer.
Rire et jouer.

Profiter c'est dessiner.
Profiter c'est goûter,
Profiter c'est vivre.

Dessiner notre paradis.
Goûter l'étranger.
Vivre sa vie.

Profiter de la vie.
Il faut rire.
Il faut sourire.
Il faut essayer.

Il faut profiter.

J’entends la voix de ma mère en bas qui m’appelle, « Pam, réveille-toi, ton épreuve de baccalauréat commence dans 30 minutes ! ». J’avais redouté ce jour depuis longtemps déjà, je n’avais pas dormi de la nuit et je n’avais pensé qu’à ça, aux innombrables incidents qui pourraient se produire aujourd’hui. Je descends en bas, ma mère avait déjà préparé le petit déjeuner : des tartines au Nutella, c’était ma nourriture préférée. Le fait qu’elle veuille me faire plaisir en ce jour si important me touche mais, renfermée, je ne lui dis pas. J’ai toujours été assez pudique au niveau de mes sentiments alors je n’exprime rien. Je finis d’engloutir la dernière tartine au Nutella et me levai. Ma sœur, Maëlle, était déjà sortie, elle avait cours tôt aujourd’hui. Je pris mon sac et fermai la porte derrière moi avant que ma mère ne crie « Bonne chance ma chérie ! ». Je marchais vers le lycée à reculons : j’étais stressée. J’arrivais dans la salle d’examen. Maude, ma professeur d’histoire-géographie, attendait que toutes les élèves soient présentes. Lorsqu’elles arrivèrent, Maude nous donna nos vêtements afin de ne pas nous faire repérer durant les trois prochaines minutes d’épreuve. Depuis le début de l’année, notre professeur nous répétait qu’au moyen âge, les médiévaux étaient violents et sales, et que nous devrons rester ensemble et nous fondre dans la foule. Quand tout le monde eût fini de se changer, nous nous sommes prises les mains. Chacune d’entre nous ferma les yeux et écouta notre professeur. « Concentrez-vous, nous allons atterrir près d’une école, beaucoup de monde sera présent, des hommes également. Ressentez le vent sur votre peau et voyageons vers l’an 2018. ». Je me concentre de toutes mes forces, et sens l’air passer sur ma peau, mes pieds s’envolent et je me sens vertigineuse. Soudain, je sens à nouveau le sol et notre professeur nous ordonne d’ouvrir les yeux. Je m’exécute et aperçois des centaines de médiévaux, des femmes comme des hommes. À mon époque, en 2180, il n’y a plus d’homme et le fait d’en voir, à quelques mètres de moi, me glace le sang. Il fallait patienter pendant trois minutes avant de pouvoir retourner à notre époque. Ces minutes me semblèrent une éternité, lorsqu’enfin notre professeur annonça :
« Les trois minutes sont écoulées, veuillez vous redonner les mains, fermez les yeux et concentrez-vous à nouveau, faites comme pour l’allée mais cette fois-ci, c’est à notre époque que nous allons ». Je me concentre à nouveau et sens les brises du vent sur ma peau. J’attends que ma professeur nous ordonne d’ouvrir les yeux mais elle ne le fait pas. Puis, au bout d’un certain moment, je décidai de les ouvrir par ma propre initiative et constatai que je n’avais pas bougé. Je regarde autour de moi, pensant apercevoir mes amies et ma professeur mais elles ne sont pas là. Je marche alors quelques mètres pour essayer de les trouver mais rien. Une heure, deux heures, trois heures s’écoulent, sans n’avoir retrouver la trace de quiconque. Je compris alors que, le moment que je redoutais le plus venait d’arriver, j’étais coincée à une époque qui n’était pas la mienne. Puis, l’image de ma mère me parvient, et je regrette soudain de ne pas l’avoir remerciée ce matin, ou même d’avoir dit au revoir à Maëlle. Je ne les verrai plus. Je compris à ce moment même qu’il fallait profiter de nos proches, de la vie, de tout.

profiter, cela représente tant de choses pour moi,

profiter des bons moments, pour moi s'en est une loi.

La vie est si courte, je dois en profiter,

car on ne sais jamais ce qui nous ait réservé.

Profiter, pour moi cela est la plus belle sagesse.

Car le destin, on ne sais pas son adresse.

Penser que tout est infini est la plus belle erreur,

car parfois le temps fait peur.

La vie est un cours d'eau,

ne pas profiter mènent souvent à tomber de haut.

Voici mon poème:

"Profiter d'un instant"

Le bonheur dit que l'heure fait peur
A voir une poire qui ne pourrait boire
Vaguement sous un rochement
Immobile sans son mobile très habile
Espérer de ne pas déserter sur son cauchemar.

Voilà j'espère qu'il vous plaira ! =D
Le poème que j'essaie de former en verticale, hé hé! C'est à vous de voir !
Un rochement possède une source d'eau, une poire contient de l'eau en elle mais là je parle d'une poire désseché dont son cauchemar qui est une l'île déserte. Quand je dit le passage du mobile c'est en rapport avec l'intelligence pour trouver de l'eau sur une île déserte.
Je récapitule: C'est l'histoire d'un bonheur (narrateur qui explique une vie d'une poire). Cette poire qui est sur une île déserte et qui ne sait pas comment trouver de l'eau (l'heure qui passe sans que la poire trouve de l'eau). Cette poire voit un rochement mais dans ce rochement il y a une source d'eau mais elle ne sait pas qu'il y a une source d'eau. Elle est immobile sur l'île déserte, son cauchemar, sans son mobile qui pourrait lui indiquer une source d'eau dans ce rochement. Mais cette poire ne sait pas qu'il est, d'où elle vient et où elle est! Cette poire est sur son cauchemar mais elle n'en sait rien de cela !!!