[Récit Tragique] Souffrances |
Elyolucas « Consul » 1430756880000
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Souffrances Cette lueur qui résulte en mon cœur, Comment oublier cette chose qu'il m'a faite? Ces paroles qui résonnent sans arrêts dans ma tête.. Liste des Chapitres # Chapitre 1 - Le Commencement # Française de pure souche, je m'appelle Sarah, jeune fille de 23 ans je venais de finir mes études de droit, je souhaitais m'exercer dans une autre faculté afin d'acquérir des connaissances plus solides. Je suis une fille ambitieuse, pleine de vie et qui va de l'avant. Ma famille, je dirais traditionnelle, une petite sœur et deux parents qui s'aiment. Je n'ai pas une grande vie sociale, dans mon petit village, il n'y a pas beaucoup de jeunes de mon âge. C'est pour cela que j'ai décidé de partir en Angleterre. Elda (Ma mère) : Tiens, n'oublie pas ceci.. Sarah : Qu'est-ce que c'est? Une boîte? Elda (Ma mère) : Tu peux l’appeler comme ça, oui. C'est un très ancien coffre, c'est ta grand-mère qui me l'a donnée à ma majorité.. Sarah : Et pourquoi aurais-je besoin de ceci? Ce coffre vieillot, aucun intérêt ! Ce n'est que des choses débiles. Elda (Ma mère) : Des sottises?! J'espère qu'un jour tu te souviendras de ces paroles. Part maintenant, cette maison n'a plus besoin de toi ! Une fois ces dernières paroles adressées mère et fille, je m'en alla. J'adressa un dernier petit mot sur le paillasson, au pied de la porte. En route vers les contrés d’Angleterre, je me mis à chercher un moyen d'atteindre ces terres, mais comment? Une idée simple me vînt soudainement à l'esprit, pourquoi pas en bateau? C'est encore un des moyens les plus simples de traverser la manche ! Je me mis vite à la recherche d'une gare proche d'ici afin d'achever dans un port proche de la Manche. Mais où trouver cette gare? Je suis isolée de tout ! Un passant s'arrêta au travers de ma route. Passant : Tiens, rare sont les visiteurs par-ici ! Sarah : Pardon, qui êtes-vous? Passant : Ah oui, toute mes excuses, quelle impolitesse ! Je m'appelle Quentin, je viens d'achever ma 24 année, j'ai donc 25 ans. Sarah : Mmh.. enchantée. Quentin : Que fais-tu ici? Tu as besoin d'aide? Je peux t’emmener si tu veux. Sarah : Euh.. je ne sais.. pas trop, pour être honnête. Je préfère continuer ma route seule. Vous ne connaîtriez pas la destination d'une gare vers les alentours? Quentin : Bien-sûr, tu n'es plus très loin, poursuis jusque dans ces plaines, là-bas. Tu es certaine que tu ne veux pas que je t'accompagne? A peine sa phrase terminée, je répondit aussitôt d'un air nerveux : Sarah : Oui.. OUI ! Certaine. Merci pour ces indications. Quentin : Bien, ce fût un plaisir de faire ta connaissance ! Je te laisse donc vaguer à tes occupations dans ce cas. Faire ma connaissance? Je ne me suis même pas présentée à lui. Puis, ce n'est pas une occupation ! Mais quel toupet. Pfff ! Ce type me donne la chair de poule.. # Chapitre 2 - Ascension vertigineuse # Des journées que je marche, mes chaussures n'ont même plus de semelle. Mon sac? N'en parlons pas, j'ai l'impression de transporter un troupeau de vaches sur mon dos. Mes vêtements sont sales, et je repense sans cesse à cette dispute avec ma mère, ces mots sont toujours encrés fortement dans ma tête, c'est horrible ! Je regrette cette altercation.. Et si je ne revenais jamais, si je laissais les choses ainsi? Non, je reviendrais, quoi qu'il arrive ! Même si cette excursion me déchire peu à peu, je tiendrais, d'un pied ferme et j'avancerais ! Il n'y a qu'un seul avantage, ces paysages à perte de vue, tous aussi magnifiques les uns que les autres ! Je m'arrêta sur un banc pour souffler un peu de cette longue journée de marche, quand je vis une petite fille qui était coincée dans une brèche. Au départ, je n'y prêtais pas trop attention, mais les pleures de cette petite fille devenaient de plus en plus fort, je me leva alors pour l'aider. Sarah : Bonjour, que ce passe-t-il? Petite Fille : Hum.. salut. J'étais en train de courir quand j'ai trébuché ici. Aïe ! Ma cheville ! Sarah : Attends, je vais te sortir de là ! ... Et voilà ! Petite Fille : Merci beaucoup ! Sarah : Pas de soucis ! Mais dis moi, que fais-tu ici toute seule? Où sont tes parents? Petite Fille : Eh ben.. Sarah : Oh excuse-moi, je dois y aller, j'ai encore pas mal de chemin à faire, je ne tiens pas à dormir encore une fois dehors, au revoir ! Après quelques heures passées, je me retrouvât dans une ville plutôt chique par rapport à ce que j'ai plus connaître. Des grands magasins, des cafés, des restaurants, on dirait l'affiche de ma chambre que j'ai de Paris. Une ville très accueillante. Je demanda mon chemin à une passante. Elle m'indiqua la gauche, mais je ne faisait que tourner en rond. Sarah : Encore cette rue? Et pourtant, je suis allée à gauche comme le l'avait dit cette femme. Oh, mais ce n'est pas la gare par-là !? # Chapitre 3 - Révélation Surprenante ! # Je m'assis à l'avant du train, j'étais confortablement installée sur mon siège, c'est vrai que cette semaine d'aventure m'avait fait perdre toute notion de plaisir ou de confort, je retrouvais ce plaisir d'être bien assis, de pouvoir se reposer en paix, sans les bruits des animaux, sans le froid environnant... Ahhh ! Un homme m’interpella : Quentin : Tiens, comme on se retrouve ! Sarah : Oh.. euh.. bonsoir !! Répondis-je d'un air surpris Quentin : Alors, cette excursion? Pas trop pénible? J'en revenais pas, il me parlait comme si nous nous connaissions depuis toujours, et pourtant.. J'étais vraiment déstabilisée devant lui, il y'a quelque chose chez lui.. je ne serais dire.. J'arrivais à peine à faire sortir une parole, à peine un son de ma bouche ! Sarah : Ssss.i.. Quentin : Allons, détends-toi ! Est-ce moi qui te mets dans un état pareil? Sarah : Non, non.. c'est que.. après ce dur voyage, je suis exténuée de fatigue ! Quentin : Oh, pardonnes-moi de te déranger, dans ces cas là, je te retrouve au petit-déjeuné, à demain ! Demain? Il ne me tarde pas d'y être ! Espérons-le, me réveiller et me dire que tout cela n'est qu'un rêve.. Je m'éveilla, la première sensation que je ressentit était cet horrible mal de dos, j'avais très mal dormi. Enfin, si c'est dire que j'ai dormi. J'y ai pensé toute la nuit. Ce type me fait de plus en plus peur, on dirait carrément qu'il me suit ! Mais je ne me doutait pas de ce qui allait m'arriver ! Petite fille : Hé, comme on se retrouve ! M'interpella la fille de la dernière fois d'un air chaleureux. Sarah : Oh ! Je rêve ou tu es la petite fille de l'autre jour? Petite fille : Sans blague ! Bien-sûr que c'est moi. Sarah : Nous avions été coupées la dernière fois, comment cela se fait-il que tu sois toute seule, et surtout, ce que tu fais dans ce train ! Petite fille : J'ai essayé de t'expliquer la dernière fois, il se trouve que je ne voyage pas seule. De plus, je suis ici pour toi. Sarah : Pour moi?! Petite fille : Oui, lors de la mort de mes parents, ils m'ont remis cette chose. Il se trouve que ça te soit destiné. Tiens, lis ceci. La signature est rayée, et quelques mots sont illisibles mais il y'a ton nom qui est inscrit dedans : Mon cher acolyte, Sarah: Mais, mais.. qu'est-ce que ça veux dire !!!!? Mon père est-il mon père? Et ma mère !!!? Petite fille : Je crois savoir qui est ton père, et pouvoir répondre à tes questions ! # Chapitre 4 - Mensonges & Vérités # J'ouvris tout doucement les paupières, la première sensation que j'eue ressentit est cette douleur aux bras et à ma jambe gauche. Cette douleur, j'en ai encore froid dans le dos, rien qu'en évoquant cet instant. Encore étourdie, j'arrivais à peine à m'accoutumer à ma reprise de connaissance. J'entendis une voix sourde me disant qu'ils allaient s'occuper soigneusement de moi là-bas et que je ne devais pas m'en faire, que j'étais prise en charge et que je ne risquait plus rien. Puis en une fraction de secondes, le trou noir. Vide comme le néant total, ce noir où aucune lumière ne pénètre. C'est sûr que ce n'est pas le même noir que dans ma chambre ! Cette sensation qui me glace le sang, cette sensation d'agoniser dans la solitude la plus complète, je n'avais encore jamais rien ressentit de tel auparavant ! A nouveau, la pénible tâche de rouvrir mes yeux avec la lumière du soleil qui me transperce les yeux avec toujours cette même voix. Mais ces paroles et ma vue était encore très trouble, je n'arrivais pas à garder mes yeux ouverts. Jamais je n'avais été fatiguée à ce point ! Je m'éveilla quelques heures après, remise du choc très douloureux. A mon chevet se tenait ma mère, qui attendait depuis ce temps mon retour à la surface. Quelque part, cette attention me touchait, mais... Il y'a toujours un mais. J'ai toujours considéré cette femme comme ma mère, mais depuis la nouvelle, je n'y arrive plus. Encore un peu désemparée par ces événements, je voulu lui adresser une parole, mais à la vue de cette parole, elle pris tout de suite les devants sans me laisser m'exprimer. Elda : Non, ne parle pas. Reposes-toi donc. Rares sont les fois où j'ai entendue ma mère prendre cette voix si chaleureuse, si douce. Depuis des années qu'elle n'a pas eu ces paroles pour moi, pour me soutenir. Elles m'ont bien manquées. Mais quelque chose me dérange, que fait-elle ici? Surtout après notre dernière conversation. Je pensais que je n'étais rien pour elle. Que ma présence dans cette famille était de trop. Puis là, d'un coup de baguette, elle est présente pour moi. Comme si elle était contente de me voir comme ça. Peut-être qu'elle attendait cette occasion, de se débarrasser de moi une fois pour toute. Le lendemain matin, la lueur de l'aube accueillante, avec toujours ma mère qui attendait. Elda: Alors, ma cherie, bien dormi? Sarah : Où suis-je? Que fais-tu ici? Pourquoi ne suis-je pas. Plein de questions se bousculèrent dans ma tête. Elle ne me laissa pas finir. Elda : Chuuut ! Calmes-toi. Tu as été emmenée à l'hôpital, ton train à déraillé. Sarah : Déraillé?! Et tu peux me dire ce que tu fais ici? Elda : Eh bien, je suis ta mère voyons ! L'hôpital m'a appelée et je suis venue le plus vite possible ! Je serais toujours présente pour toi. Sarah : Comme ces cinq dernières années? Et comment oses-tu prétendre être ma mère?! Après tous ces mensonges ! Elda : N'oublie pas que je t'ai élevée ! Sarah : ÉLEVER? EN ME LAISSANT SEULE A ERRER SEULE DANS LES RUES SANS QUE TU DAIGNES BOUGER TON CUL POUR M'AIDER ! Alors si c'est cela élever un enfant. Cette mauvaise mère que tu as été ! Je t'en voudrais toujours !!! Elda : Je ne parle pas sur ce ton !! Sarah : T'es pas ma mère, t'as rien à me dire ! Un médecin surgis de la porte principale de ma chambre d'hôpital. Le Médecin : Tiens, la petite rescapée est levée ! Je vais te prescrire des médicaments pour que tu ailles mieux et pour que la douleur soit plus supportable. Sarah : Je vais très bien, pas la peine de me parler comme à une malade mentale ! Le Médecin : Allons, pas de panique, ne t'inquiètes pas. Ce ne sont que des médicaments qui t'aideront à te sentir mieux. Sarah : Pas questions de me faire droguer par des bouffons de médecins ! Elda : Hé, doucement ! Le médecin ne veux que t'aider ! Sarah : Bah oui, évidemment, toi t'es de son côté. J'avais oubliée que tu voulais absolument me retrouver morte sur le bas-chaussé à cause de ces médicaments ! Le Médecin : Calmez-vous !! Bien. passons un accord. Sachant que tu auras bientôt très mal, il est fort préférable que tu acceptes, dans le cas contraire, c'est toi qui décide, mais tu resteras bel et bien là tant que tu n'iras pas mieux. Ce qui prendra plusieurs mois voir une année avant que tu ne puisse sortir d'ici sans médicaments. C'est donc à toi de voir. Sarah : Oui bon bah ça va ! Je vais les prendre vos fichus médocs. ..Après la piqûre et après avoir pris le médicament.. Sarah : Voilà. Content? Le Médecin : Eh ben tu vois quand tu veux ! Le médecin quitta la pièce. Sarah : Phhrff ! Me voilà coincée ici ! Elda : T'as vraiment le caractère de ton père. Sarah : Tu connais pas mon père ! Elda : Figures-toi qu'on a été amis avec mon mari et ton père, une petite bande à trois. M'enfin, je pense que tu es prête, je l'ai reçue il y'a 7 ans, à ton anniversaire de tes 15 ans. Tiens. Ma petite fille, Sarah : ET POURQUOI TU NE ME L'AS JAMAIS MONTRÉE? Elda : J..j'ava-is de ta-de ta ré-action... Sarah : Ouais, t'as été une lâche toute ta vie quoi. C'est bon, tu peux partir. Je ne voudrais pas te gêner encore plus dans ta petite vie. Adieux ! Dernière modification le 1441202820000 |
Elyolucas « Consul » 1430756880000
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La suite est à venir, ce n'est pas sûr que tout vienne dans l'immédiat. Merci de votre visite ! |
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bonne chance o/ c'est très sympa |
Elyolucas « Consul » 1430757240000
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Merci ! :p |
Animaties « Citoyen » 1430757540000
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Joli présentation j'y jetterais un oeil :) |
Azzillapp « Consul » 1430757600000
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Pas mal Tu gère Elyo' ! |
Elyolucas « Consul » 1430757600000
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Content qu'elle vous plaise, fais-toi plaisir Ani' ! Et merci à vous. :3 |
Pikachumdr « Consul » 1430758380000
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Bonne chance ! J'aime beaucoup c: |
Elyolucas « Consul » 1430759460000
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Merci Pika ! :p |
Sauvage « Censeur » 1430759460000
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J'aime bcp ! Hâte de lire la suite ! ^^ bonne chance |
Elyolucas « Consul » 1430759640000
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Merci Benji' ! c: |
Lollucasmdr « Citoyen » 1430760060000
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Ça a l'air sympa, mais les fautes... Essaye vraiment de t'appliquer xd j'ai pas la foi de tout corriger mais voilà les plus flagrantes: Elyolucas a dit : je me mis vite à la recherche d'une gare proche d'ici à fin Elyolucas a dit : tu n'es |
Elyolucas « Consul » 1430760420000
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Petites erreurs d’inattention ! Merci bien. c: |
Lollucasmdr « Citoyen » 1430768820000
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De rien, et bonne chance pour la suite ! |
Elyolucas « Consul » 1430770080000
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Merci bien Lucas ! :p |
Nightingale « Consul » 1430771640000
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Bonne chance mais il y a malheureusement beaucoup de fautes d'orthographes. Au premier paragraphe, j'en recense six... |
Nightingale 1430771640000
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[Modéré par Meeyo, raison : Hors-sujet] |
Elyolucas « Consul » 1430772600000
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Je sais qu'il y'a des fautes, mais j'y peux rien si je suis pas le plus doué en orthographe, je pense qu'on peut passer au-delà des fautes. De plus, les modos avaient prévenues que si une sous-section Fiction apparaîtrait, on pourrait faire comme on veut, sans thème imposé. |
Lollucasmdr « Citoyen » 1430773800000
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louloupoux a dit : c'est bien de vouloir faire la loi mais faut savoir de quoi on parle, les modos avaient prévenu que si cette sous-section voyait le jour, elle pourrait accueillir n'importe quelle fiction tant qu'elle reste dans la charte, même si ça n'a pas de rapport avec Transformice ah et, les doubles-posts comme tu viens de le faire sont interdits =) Si j'ai du temps et que personne ne le fait, je te corrigerais les fautes restantes Elyo |
Girole « Citoyen » 1430801160000
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Bonne chance Elyo c'est intéressant ! |